
Le 26 septembre 2010, le peuple suisse accepte la loi sur le chômage. Genève la refuse avec 60.5%. La Ville, à l’instar d’autres communes urbaines combat cette loi synonyme de recul social, principalement au motif que le nouveau dispositif légal réduit les prestations au chômage et induit des charges supplémentaires pour les cantons et les communes. Parmi les publics fragilisés, les jeunes, les personnes âgées et les artistes.