
En 50 ans, l’économie genevoise s’est fortement spécialisée dans les activités tertiaires et plus particulièrement dans les activités « à forte valeur ajoutée ». Ces changements entraînent aujourd’hui une « monoculture des activités économiques » qui ont pour conséquences : une forte dépendance de notre économie aux incertitudes de la conjoncture économique, une explosion des loyers commerciaux, des services tournés vers une clientèle internationale fortunée en décalage avec les besoins des Genevois-e-s, et enfin, une création d’emplois inadaptée à la réalité du marché du travail local et à la progression de la formation professionnelle.
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