Aujourd’hui, coup de cœur sur une action qui mérite d’être entendue et à laquelle je vous encourage vivement à participer. 1 000 grues.ch !
Très simple, pour le 26 avril prochain, triste anniversaire des 25 ans de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, il s’agit d’aller sur la place des Nations et d’apporter 1 000 grues en papier à l’OMS.
Depuis le drame d’Hiroshima, ces oiseaux en origamis représentent un symbole de paix et de guérison pour les victimes de la radioactivité
Pourquoi une telle action ? Il existe un accord de « non-agression » (WHA 12-40) entre l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l’Agence Internationale pour l’Energie Nucléaire (AIEA). En d’autres termes, l’OMS ne peut prendre de position qui nuirait aux intérêts de l’AIEA. Cela a pour conséquence d’occulter les effets sur la santé de l’énergie nucléaire.
Le but de cette action est de demander la révision de cet accord pour prendre en compte les dangers du nucléaire sur la santé.
Voici une interview d’Anick Steiner, organisatrice de l’action 1 000 grues.

Les dangers du nucléaire pour l’humanité et l’environnement sont bel et bien existants. Je crois que les preuves ne manquent pas. Alors, après Tchernobyl et Fukushima, nous faudra-t-il encore une nouvelle catastrophe pour comprendre ? Avant qu’il ne soit trop tard, arrêtons les dégâts. Sortons du nucléaire !
Pour plus d’informations cliquez sur le site de l’action 1 000 grues.ch
Mots-clefs : 1000 grues, Nucléaire, ville de genève
« Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé, alors seulement vous vous apercevrez que l’argent ne se mange pas. » Prophétie d’un Amérindien Cree